princesse pipistrello

Soir de match...

Les hommes de la maison ont demandé l'autorisation de regarder le match, comment refuser sans passer  pour une ingrate ... l'ado et le beau-père reunis dans la même
communion footbalistique.
Ce soir je paye ma dette  , ce n'est pas si cher payé pour toutes ces soirées dont j'ai décidé la couleur, orienté l'ambiance, ce soir je passe la main et les hommes ont le sourire
Soir de match, et j'avoue que plus jamais depuis la coupe du monde je n'ai eu pour ce ballon et les joueurs qui s'epuisent sur la pelouse les mêmes yeux de Chimène qu'en 98 ...
Indifférente aux enjeux, aux petites histoire de l'equipe de France, plus rien ne vibre en moi, les joueurs ont changé et moi aussi.
Soir de match, un soir à faire tout autre chose alors.
des petites choses pour soi, comme  se plonger dans un bain plein d'une mousse toute douce, mais Anna  dort tout pres, le sommeil ma chipie n'a pas de prix
ce serait aussi appeler une copine qui fuirait elle aussi Thierry Henry et ses amis ... mais je n'ai pas envie de parler
ce pourrait être commencer Alabama Song dans la tiedeur de mon lit, mais les clameurs du match auraient le mauvais gout de monter jusque dans ma chambre,
Et si  mon plaisir de ce soir c'était de retrouver le contact de mon mac air, m'enfoncer dans le canapé noir , renouer le dialogue enfin

soir de match...

Voila des semaines que je manque ce rendez vous, que je guette un signe, le petit mac posé sur les genoux, attendant que les mots se frayent un chemin, que l'envie soit au rendez vous du soir .. Serait-ce une vraie panne d'inspiration, où bien alors la concurrence déloyale de séries à l'intrigue si vite oubliée? Faut il chercher du coté d'une flemme récurrente, d'une vraie fatigue qui s'installe et me cloue chaque soir au creux du canapé dès le calme revenu dans la maison.. Que dire alors de l'effet casi hypnotique du canapé noir, de ses plumes accueillantes, des oreiller blancs dans lesquels plonger son cou.. son nez pour mieux s'abandonner. Combien d'heure ai-je dormi, indifférente aux efforts de Jack , Sam et autres experts pour trouver l'indice qui permettrait de confondre à coup sur le meurtrier ... Jack et sa moue boudeuse, son charme improbable... Mais pas de rèves ni de Jack dans ces moments volés à des nuits toujours trop courtes, juste la sensation d'un temps passé décidément bien trop vite ...

Princesse Pipistrello est repartie pour un tour. Tout syndrome dépressif post fiesta aurait donc presque totalement disparu.. J'aurais 44 ans depuis quelques jours et finalement ce ne serait pas si douloureux que cela . Est-ce parce que rien ou presque n'a changé, et que dans les yeux aimants je ne vois pas de gentil 3 transformé en affreux 4? Est-ce aussi l'effet magique de toutes ces petites doses d'amour arrivées jusqu'à moi?Serait-ce aussi l'éclat de ces petites pierres à mes oreilles? Ou bien alors de petits et grands cadeaux à lire, à savourer, à écouter, à regarder. C‘est sans nul doute tout cela à la fois. A mon poignet je contemple la montre... la pureté de ses lignes art dèco, l'éclat de l'acier, la finesse du gris de son cadran. Sous mes doigts, le clavier lumineux de mon mac air, la lègereté de sa coque, la sobriété de son design. Je retrouve le plaisir du travail nomade, sur ce vieux canapé noir, dans la chaleur des plumes, mon mac sur les genoux, je me sens de nouveau libre et connectée au monde. Princesse retrouvée

44 mille ans, aujourd'hui j'ai 44.000 ans et j'exagère à peine 44 mille ans sur les épaules depuis dimanche 17 mai.. Après avoir passé le week-end dernier sur un petit nuage, me voila plutôt dessous depuis le début de la semaine Syndrome post traumatique d'après fête sans doute... 44 ans donc, je ne suis plus une "jeune femme de 43 ans" , ça n'a l'air de rien, mais pour pour moi ça veut dire beaucoup... Heureusement mes copines étaient là pour m'accompagner dans cette épreuve... toutes mes copines, ou presque, les copains aussi.. au coeur d'une grande fête organisée dans le plus grand secret par Bruno.. Exactement le genre de fête dont j'aurai cru détester jusqu'au le principe.. la surprise, le mélange des cercles et des genres... Au final pour recevoir en plein coeur toutes ces petites déclarations d'amour, les petits messages muets de chacun lus dans leurs yeux ... et ceux murmurés à mon oreille. J'ai dégringolé de mon nuage, étrange accident, mais je ne désespère pas d'y regrimper, de surfer sur cette réserve d'energie incroyable ... ne suis je pas une super princesse ??

2008 s'est retiré sur la pointe des pieds, dans l'atmosphère si particulière de ma tribu. Ces derniers jours, Talmont s'est conjuguée avec famille réduite, 5 adultes 3 petits; depuis le départ de Gre, plus de chariots de courses kig size, plus de tablées format XL, moins de speed, on souffle un peu, ça sent la fin des vacances... Chacun à fait le plein de regroupement familial, de moments d'agacement réciproque, de contemplation attendrie des bébés et de leurs explorations aventureuses.. Ensemble deux fois par an, c'est août qui nous réunira la prochaine fois. Et moi je me suis sentie comme en tête à tête avec Anna, ma poupette blonde qui s'est invitée chaque nuit dans mon lit, petite coquine décidée à prendre toute la place où presque ..... Trois jours de blondinette accrochée à la hanche, jolie bébé en manque de calin pour maman disponible, mais dans ces moments là qui porte véritablement l'autre? Etrange comme depuis le retour de Bruno la voila de nouveau reconciliée avec le sommeil ... 2008 s'en est allé, étrange mercredi 31 qui s'est étirée lentement, douloureusement comme une longue transition entre une année qui tire sa revérence et une autre qui se profile, n'était ce pas le moment dédié aux bilans, aux réflexions sur les actions, les envies, les choix passés et ceux à venir ... 2008 condensée en une petite journée. Et voila 2009 et ses promesses de nouveaux projets, nouveau job, nouvelle organisation, nouveau regard sur soi.. Je vais m'occuper de moi, 2009 sera mon année, celle qui permet d'avancer, de se retrouver le temps du soin porté au corps, celui des crèmes et des laits qui font la peau douce... le temps de la nourriture qui rend mince et réconcilie la femme et ses formes... le temps du travail retrouvé qui nourrit le rapport à soi au travers du rapport aux autres... le temps de la réflexion et du travail philosophique le temps du travail sur soi et de la reconciliation avec soi-même Une belle et douce année, pleine de petits plaisirs et de grands bonheurs, pleine de grands bonheurs et de petits plaisirs... à partager ... à donner ....

Et la magie de Noël est enfin arrivée jusqu'à moi ... il était temps non ? Pour ça il aura fallu quitter la maison, mettre de la distance, rejoindre mon clan à Talmont et oublier la galère du déménagement... Et quel déménagement, chaotique, bordélique, mal préparé, frigo encore plein à l'heure H, pièces à vider en catastrophe, sacs-poubelles pour pallier les cartons manquants ... Bordélique mais sympa quand même au dire de nos déménageurs motivés, les frères et copains bienveillants qui nous définitivement classé dans la catégorie des sympas mais totalement "hawai" coté organisation... Surtout moi d'ailleurs, va savoir pourquoi l'organisation d'un déménagement reste une compétence que l'on attribue aux femmes et qui plus est à celles qui ne bossent pas et qui n'auraient donc que ça à faire ... ben voyons … Mais bon de ce coté là, ma réputation était déjà faîte depuis longtemps...dixit les Pelet j'ai déjà prouvé que je ne maîtrisais pas l'exercice ... L'arrivée dans la nouvelle maison a été à la hauteur de nos craintes coté timing, travaux inachevés, escalier fantôme, salle de bain unique et à la cave pour 6, pas d'eau dans la cuisine pendant 3 jours, et des cartons partout ... des dizaines de cartons qui ne seront pas vidés faute de rangement, sans compter ceux qui attendent que les travaux soient finis pour gagner leur destination finale. Il m'aura fallu 15 jours pour retrouver mon sèche cheveux... 20 jours plus tard, notre nid a certes une allure plus normale, les livres ont rejoint la bibliothèque, ma Pipistrello a trouvé sa place, manquent encore à l'appel mes petites lampes orange ….mais, car il y a toujours un mais, l'échelle trône toujours au milieu du salon, les salles de bains sont toujours virtuelles, il n'y a pas une étagère dans nos placard et l’on marche toujours sur les cartons. Plus grave pour moi, la cruelle réalité de la peinture dite industrielle, mon super sol gris 7040 se révèle tout à fait inadapté à l'usage domestique, le voila couvert de rayures et de griffures profondes qui nous ont fait gagner un free ticket pour une nouvelle pose ou mise en oeuvre en 2009. Quid alors de mon gris 7040 dont on découvre chaque jour la capacité à mettre en perspective toutes les petites salissures et spécialement les poils du chien ... on peut les compter, c'est magique Alors opter pour le 7045, plus foncé où faut-t’il conserver le 7040 , cruel dilemme !! Quant au mystère de l'avancement des travaux pendant notre absence, il reste entier, la surprise sera pour Bruno .. C'est là que la magie de Noël opère un max, ça me parait loin et du coup pas si grave que ça, deux repas gastronomiques plus tard, est-ce l'effet conjugué des vins de Papou et de la cuisine de Mamoune, l’effet tribu Pelet, cela ne me paraît plus si dramatique... Ici entre l'intendance pour 15 personnes à gérer et les grands et les petits tous plus ou moins malades, les bébés à surveiller, le quotidien est tout autre et finalement très exotique, on se couche tôt, on boit beaucoup, on mange tout autant, on se recréer une petite bulle si différente et familière à la fois... faîte d'une douce prise en charge de la famille, d'un petit repli dans le confort du rôle de fille de ses parents et l'ainée des soeurs Ambiance détendue entre sisters …. Pas de psychodrame en vue …. Quand je dis que la magie de Noël est là !!

Et voila c'est parti pour un quatrième volet. Coté fréquence je sais, c'est pas très dense j'avoue, mais mon actualité du moment me laisse peu de loisirs.. Au programme de ces derniers jours, des cartons, des cartons et encore des cartons; et des cartons il y en partout désormais, on les enjambe, on marche dessus, on se cogne dedans la nuit quand on va faire pipi.. Au programmme des jours à venir...alors on fait quoi ma petite dame ?? Des cartons encore, de livres, de vaisselle, de produits de beauté en tout genre, des cartons de fringues, des lourds trop lourds, des tout légers trop légers pour être honnêtes ceux la. Et je découvre où je redécouvre que je désteste faire ça ... Mettre en cartons c'est tout sortir, tout re-ranger, trier un peu, enfin c'est ce que tout le monde me dit, tout ceux qui bien sur ne l'ont pas fait et qui regrettent de ne pas l'avoir fait ... Je sais bien que je devrais trier, mettre de coté et même jeter, mais voila j'ai bien du mal, à peine ai-je pu mettre de coté une tasse marron vraimment trop laide malgré son look 70's et un bol et une assiette ebréchée; la super gourde jaune en métal, le moule à charlotte sans couvercle ont echappé au passage à la trappe; enfin jusqu'à présent. Et une fois encore mes petits verres si mignons qui ne servent jamais seront du voyage, normal ils sont trop beau et ils me viennent de ma grand-mère. J'ai mis en carton mercredi mes petites lampes orange, geste hautement symbolique, c'était ma "personnal touch", depuis le salon semble nu et si imperssonnel, je ne suis plus tout à fait chez moi et pas encore ailleurs. Drôle de sensation.. J moins 8, dans une semaine nous serons dans notre nouveau et premier chez nous, j'ai encore du mal à me dire que cette maison est vraiment la notre, les travaux qui n'en finissent pas de finir et de prendre du retard et l'ambiance chantier ne facilitent pas l'appropriation du lieu. Ok mon super sol est fait, et le gris 7040 est très réussi , en tout cas il me plait, pas tout à fait effet béton ciré mais très approchant.. Mais il reste tant de choses à faire, difficile de croire que tout sera terminé samedi prochain... En fait personne n'y croit, pas plus nous que l'archi d'ailleurs, alors on se prepare juste à vivre dans un chantier plus où moins en chantier ... 2 salles de bains sans faience, une cuisine bricolée, des parquets non posés dans les chambres et cerise sur le gateau un étage peut être sans escalier .. La vraie question de la semaine "avec ou sans escalier; Il y a comme un parfum d''escalier pas prêt dans l'airI Il n'y aura pas d'échelle non plus pour monter sous les combles mais de toute façon je refuse de dormir la haut si je n'ai pas mon escalier; c'est clair je ne monte plus à l'echelle, j'ai donné pendant les travaux, monter en tremblant descendre en flippant sous l'oei goguenard des ouvriers présents. Le ridicule ne tue pas ... de toute façon il n'y a plus d'echelle non plus. Rester zen et ne pas trop stresser, ne pas laisser mon escalier bois et métal m'empêcher de dormir, hors de question de laisser 13 marches en chêne et quelques boulons me pourrir la vie.. Un mois de Novembre qui tient ses promesses ... Et décembre alors, quelle allure aura t'il celui là?? Je ne suis plus si sure d'être aussi préssée d'y être. Un mois de décembre serein, avec des tas des cartons à défaire .. Et puis la chasse au cadeau à recommencer. Dis Monsieur le Père Noel c'est quand qu'elle opère chez moi la magie de Noël cette année?

Troisieme opus... Et voila le plis est pris, et ce n'est pas si difficile.. finalement on y prend vite goût et on se surprend à penser au message suivant, ce que l'on va raconter, je crois que j'aime ce petit moment. Cette fois ci pas d'Anna la marcheuse et ses mille petites bétises , pas de Pierre trépignant pour squatter une fois encore "mon mac" pour une enième partie de Dofus ; aucune escuse donc pour laisser des fautes de frappe ou d'orthographe. Après midi maison, pour le moment rien de très productif à mon actif, un brin de ménage, lecture de mails, envie de rien et surtout pas de me mettre à la rédaction du document que me réclame la boite de formation où j'ai passé hier mon 4 eme (et dernier ?) entretien.. Il va bien falloir pourtant pondre une pompeuse "offre de services", montrer ce que je peux leur apporter, ma plus value, ma valeur ajoutée dans une relation gagnant - gagnant entre la structure et moi ... Super , je suis ultra fan, faut juste que j'appele mon coach "Super Isa" car je ne vois pas du tout ce que je vais leur dire ... ni comment je vais leur dire... Mais quelle energie dépensée pour essayer d'intégrer cette putain de boite dont je ne suis même pas sure qu'elle me fera bosser un jour à temps plein, si elle me fait bosser un jour d'ailleurs... Ben oui c'est vrai, c'est novembre et voila j'ai le novembre mou, fatigué voir dépressif, certes je ne suis pas la seule et mon entourage ne brille pas par sa pèche, mais novembre 2008 tient toutes ses promesses en matière de stress et de galères : - galère de travaux et retard à prévoir pour le deménagement, travaux = grosse galère une fois encore cela se confirme, - galère de fric, car qui dit travaux en novembre dit fauché en décembre - galère de voiture et oui, ma Clio a trépassé, bon pas de deuil difficile à faire de cette première voiture achétée avec mes sous à moi quand même, mais organisation super galère avec une seule voiture pour deux et micro budget pour la remplaçante. - galère d'ordi , là c'est grave mon mac is dead et je souffre ... mon pemier mac que je me suis achetée pour le master, un qui a connu les bancs de la fac de droit de Tours, la BU de Blois, l'appart de Papi et Mamie pendant les révisions, l'Alfa d'Isa, celui qui a abrité ma prose pendant la rédaction du mémoire , bref un mac symboliquement très chargé; et Pierre souffre presque plus encore, trop dur il ne peut plus jouer en regardant la télé... Mais novembre c'est aussi l'anniversaire de Mamoune, de la belle Lili , pas que du tout cauchemar quand même, pour le moment je ne vois pas d'autres raisons de se réjouir, mais le mois n'est pas fini et ça peut venir encore non les bonnes surprises ? Vivement décembre...

Se souvient on mieux des deuxièmes fois ? Peut on les apprécier à leur juste valeur, avons nous vraiment appris des premières fois? Sans doute sommes nous mieux préparés, avertis de ce qui nous attend, moins angoissés, plus à l'aise ... Enfin on aime à le croire; pas si évident au demeurant dans mon cas, j'en veux pour preuve cette deuxième grossesse et cette peur irraisonnée d' accoucher comme si je n'avais jamais vecu tout ça .. ou bien alors parce que cela s'etait passé dans une autre vie. Mais il y a aussi des deuxième fois dont on a tout imaginé, préparé et dont on maîtrise le déroulement sauf le stress sans doute, plus dense encore que la première fois ... Un deuxième mariage avec le bon casting cette fois, un Bruno en mari idéal, la plage de la Guérinière et le marais vendéen pour décor, la robe et la silhouette dont on a révé et pour lesquels on a quasiment arrêté de boire et de manger ... Il y aussi ce retour à la fac et cette nouvelle immersion dans le bonheur de comtempler sa carte d'étudiant, de suivre les cours de de profs passionnants , le vertige de mesurer tout ce qui reste encore à apprendre, le plaisir de se chuchoter à la bibliothèque universitaire, le bonheur de faire de rencontrer une Isa dont on sait quelle est là pour longtemps, l'envie de recommencer et de préparer un autre master.. après les RH pourquoi pas la psychosociologie du travail.. Deuxieme message sur le blog, tout parait plus simple ... Se lire, se voir pour la première fois c'est se réconcilier avec soi-même et se dire que finalement tout cela est légitime, que cela fait du bien, que cette petite fenêtre sur soi, accessible aux autres si on le désire c'est une petite respiration, une mini-therapie qui en compléterait un autre , une plongée au coeur de soi..

Il ya toujours une premiere fois... Et il y a des tas de premières fois, de celles qu"on oublie ou qu'on voudrait oublier tout à fait, mon premier baiser, mais qui était ce donc ???, ma première "premiere fois" ....catastrophique à ranger impérativement au rayon "à oublier absolument" .... ma premiere fois sur des ski ... et des premières fois dont on voudrait tout garder, le souvenirs des odeurs, des sensations, des émotions, de la lumière : le premier peau à peau avec Pierre mon préma magnifique, les premieres dunes dans le désert, mon arrivée à New York, la passion selon Matthieu entendue à Nantes, les premiers pas d'Anna. Première fois , premier blog ..je me lance C''est toujours aussi étrange ce travail d'écriture, libératoire et un peu bizarre comme ce premier journal intime , puis ce deuxieme, tous les deux abandonnés, faute d'enthousiasme de ma part, contenu faible, émotions trops convenues, histoire d'amour mélodramatique en diable et terriblement chiante à relire ... sentiment d'impudeur à exposer toute cette sensiblerie immature Première fois, finalement pas si difficile Y aura t'il une deuxième fois, un deuxième elan Peut être ...